Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Toutes nos routes sont-elles tracées d'avance, se croisent les unes les autres, s'évitent, bifurquent, s'entremêlent, se heurtent ? À chacun des croisements, des choix se font ou des évidences apparaissent...
Notre existence ne dépend pas uniquement de nous-mêmes, mais également de notre entourage, de nos rencontres.
Dans le roman "30 secondes avant de mourir" de Sébastien Theveny, nous explorons la croisée des routes de plusieurs protagonistes. Des chemins qui se sont croisés l'espace d'un instant, qui ont divergé et qui se croisent de nouveau, avec au bout du chemin la revanche.
En un claquement de doigts, nous nous retrouvons à visiter certains instants et passages du passé des personnages. Retour en arrière et flash-back qui nous permettent de mieux connaître leur passé.
Un chapitre sur deux est destiné à un personnage. On comprend que quelque-chose ne va pas, qu’il y a un souci avec chacune des personnes, mais l’auteur tourne habilement autour du pot pendant de longs chapitres tout en nous permettant de découvrir la vie des personnages.
Habillement, un élément du présent, appelle au souvenir d’il y a 3 ans de 2015. Chaque petit symbole, objet ou situation du quotidien, fait voyager Tom ou Steeve dans un flash-back de 3 ans en arrière. Chaque partie apporte son lot de nouveaux personnages, qui viennent s’entremêler dans l’histoire, apporter des compléments d’informations, ou former les pièces d’un puzzle très bien ficelé.
Accrochez bien vos ceintures dans ce roman, qui vous fait voyager dans tous les sens, explorer des univers différents, des personnages abîmés par la vie, des morceaux de vies meurtries et des blessures non refermées. Un roman qui scelle les bases d'une amitié pour faire éclater la vérité et assouvir une soif de vengeance commune.
Encore un très bon roman, qui vous garantit des noeuds au cerveau pour essayer de remettre le puzzle de l'histoire imaginée par Sébastien Theveny, en place.
C'est Colombes qui prend la plume dans ce 3e roman, et je dois dire que j'ai eu du mal à m'y faire. Les deux premiers romans exprimaient le point de vue de Jérôme, et le fait de s'immiscer cette fois-ci dans la tête de Colombe est perturbant. J'ai plusieurs fois dû me recentrer sur les personnages pour me rappeler qui était le "JE" de l'histoire.
Dans ce roman "99 : Une course contre-la-mort", j'ai trouvé le personnage de Colombe très fragile, à fleur de peau, alors qu'elle était l'opposé dans les deux premiers romans de la trilogie. Elle pleure, elle s'énerve, elle doute, elle est abattue et désespérée. Jérôme n'est pas non plus en reste, j'ai trouvé le personnage plus effacé et discret. Le fait d'avoir changé de narrateur nous plonge dans des sentiments et une façon de voir et de ressentir l'histoire de manière différente.
L'histoire est originale. Les pièces d'un puzzle maléfique se mettent en place au fur et à mesure pour nous dévoiler une énigme bien ficelée et diabolique. Une ambiance anxiogène, et étouffante se transforme au fil des pages en course contre la montre pour découvrir l'identité du tueur, et sauvé une des 99 personnes présente au mariage.
Sébastien Theveny sait faire grimper la pression à travers les sentiments des personnages notamment celui de Colombes au bord de la crise de nerfs. Lettres anonymes, mails, devinettes, poèmes, cartes de condoléances … tout est au rendez-vous pour jouer avec les nerfs. Un petit jeu macabre et un plaisir sournois destiné à torturer via des mots et des idées que nous prenons plaisir à découvrir au détriment de la santé mentale de nos deux héros.
L’auteur, fan de Sardou nous plonge dans des jeux de piste et souvenirs bercés par les paroles de ce chanteur. Une course contre-la-mort attend nos deux conjoints. Saurez-vous découvrir l'identité de ce dangereux psychopathe ? Tic-tac, tic-tac ...
Dans ce second volume, nous en apprenons un peu plus sur le mystérieux passé de Karen, cette journaliste intrépide. Alors qu'elle plonge plus profondément dans l'affaire de la fillette perdue et de la grand-mère en deuil, nous découvrons les zones d'ombre de sa propre histoire.
Karen n'est pas seulement une journaliste déterminée, mais aussi une femme hantée par des secrets qui la rongent. Ses liens avec les personnages clés de cette affaire prennent une tournure personnelle, mettant en lumière des connexions surprenantes entre son passé et le présent.
Au fil des pages, nous sommes captivés par le suspense croissant, les retournements de situation inattendus et les émotions complexes qui se dévoilent. Karen Blackstone, la journaliste courageuse, devient un personnage encore plus nuancé, et façonné par les quelques révélations que l'auteur distille subtilement sur son passé.
Dans le dernier tome de cette trilogie, toutes les révélations que Sébastien Theveny a su tisser depuis le début de cette série de romans atteindront leur apogée. Les lecteurs seront enfin confrontés à la vérité complète sur les mystères qui tourmentent la journaliste.
Partez à la découverte de la vérité qui se cache derrière l'affaire de la fillette perdue et plongez sur les pentes glissantes de la noirceur humaine, avec "Je veux maman" qui met en avant la séparation, l'oubli, la résilience, le doute, les questions sans réponses, le poids du deuil et le gouffre émotionnel. Vous serez témoin de vies brisées par des secrets inavoués, des drames familiaux profondément enfouis et à des destins tragiques déchirants.
Le dernier tome promet d'être une conclusion captivante, mêlant suspens, émotions et révélations où Sébastien Theveny nous démontrera une fois de plus son habileté inégalée à emboîter les pièces du puzzle pour nous offrir un final explosif. L'auteur sait comment maintenir les lecteurs en haleine jusqu'à la dernière page tout en nous proposant une narration immersive, sur fond de thriller psychologique.
Ce roman de Sébastien Theveny est encore un gros coup de coeur. Cela va devenir difficile pour l'auteur de maintenir la barre aussi haute au fil de ses écritures. Ce roman nous plonge une fois de plus dans l'univers de Karen Blackstone spécialisée dans les cold-case.
Le cinéma est l'art suprême de l'illusion, Mademoiselle Blackstone, n'oubliez jamais ça...
L'intrigue de "Le Fils Perdu" s'inscrit dans une véritable course contre la montre où l'urgence se fait sentir à chaque page. Les heures semblent s'égrainer comme des secondes, créant une atmosphère de pression constante. Les flash-backs ponctués d'auditions retranscrites et la timeline minutieusement reconstituée des dernières heures de Jabaree ajoutent une dimension temporelle captivante à l'enquête. On plonge ainsi dans un univers du cinéma et de la jet-set, où chaque chapitre est une révélation et chaque décor soigneusement présenté.
L'utilisation d'un journal intime ou de lettres à son fils offre une fenêtre poignante sur les émotions de Karen Blackstone. Entre passé, souvenirs, ressentis, haine, peurs, amour et douleur, nous découvrons les sentiments de cette femmes, une profondeur émotionnelle qui jusque là n'avait jamais éte abordée dans les 2 premiers tomes : "La disparition de Véronika Lake" ou "Je veux Maman"
Cette femme devient plus humaine, et nous avons envie d'en apprendre plus à son sujet, découvrir son passé, ses blessures et félures.
Comme à son habitude Sébastien Theveny nous propose un roman fait de 1001 pièces de puzzle, qu'il s'amuse à tourner dans tous les sens, pour nous perdre au fil des révélations et des rebondissements. L'histoire est très bien menée. Pas de temps morts, les personnages sont tous très attachants et à aucun moment il n'est possible de découvrir le fin mot de l'histoire.
Les rebondissements inattendus donnent un suspens supplémentaire à l'intrigue. Le passé se mêle au présent, entre réalité et illusion, dans une quête haletante nous partons avec Karen à la recherche du fils perdu.
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