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Livre assez court, "Un jour, je te mangerai" aborde le sujet de l'anorexie. Thème finalement peu exploité dans la littérature adolescente, c'est une bonne chose que celui-ci soit abordé dans cet ouvrage je trouve. Malheureusement je trouve qu'il n'a été que survolé et pas approfondi comme il l'aurait pu.
Je n'ai pas aimé le style d'écriture et la violence des propos à l'encontre de Chloé, la petite soeur. Plusieurs passages sont malaisants et on se demande pourquoi les parents ne sont que des personnages secondaires.
Ce n'est pas un ouvrage que je relirai, peut-être un autre livre de cette autrice ?
Nous voici face à un livre très dérangeant. Non par le thème dont il parle mais par la façon dont il est écrit. Nous sommes oppressés à la lecture de ce roman. On a envie d'en finir tellement l'adolescente anorexique est un bourreau pour elle mais aussi et j'allais dire surtout pour sa petite sœur qui n'a pas choisi de naitre et de prendre sa place. On ne supporte plus qu'elle la nomme "petite merde". Ce roman est d'une violence inouïe comme peut l'être cette maladie au sein d'une famille. Il n'y a pas beaucoup d'éclaircis. On regrette l'absence des parents, ils ne semblent même pas spectateurs, tout juste des apparitions dans ce foyer.
C'est un roman qui a le mérite de montrer ce que peut vivre une fratrie face à la maladie d'un des leurs. Alexia est anorexique et elle souhaite disparaitre petit à petit. Chloé s'efface tellement que cela semble plus elle qui disparait de la vie.
Un grand bravo pour la première de couverture qui est très belle.
A force de choisir mes livres par hasard, il fallait bien que ça m’arrive ! J’ose dire crûment que là, je me suis plantée.
J’avais été attirée par la couverture colorée, la belle pin-up du premier plan digne d’un roman-photo, la nature luxuriante et le titre « Au feu, Gilda ! », sans compter une maison d’édition que j’apprécie la brune au rouergue.
Las, je dois avouer que je n’ai guère aimé le reste. Gilda a quarante ans, un petit garçon, vient de divorcer et se trouve au chômage. Si l’on ajoute qu’elle tombe amoureuse d’un père d’élève en emmenant son fils à l’école, qu’elle a maille à partir avec les employés de pôle emploi, se boit des bières en terrasse, on a fait le tour de la question. C’est, en effet, un roman sur l’amour, le chômage, la séparation, la vie quoi ! Et cela se veut drôle.
Et pourtant, je n’ai pas trouvé le récit drôle. A aucun moment, je n’ai réussi à entrer dans l’histoire. J’ai jugé les ficelles trop grosses, l’écriture trop « faussement simple », les personnages trop caricaturaux. En un mot, c’était trop et j’ai lu ce roman non pas avec plaisir mais plutôt un grand ennui. J’en suis désolée pour l’auteur Géraldine BARBE.
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