Dominique Chipot

NÃ© dans les Vosges, Ã Eloyes, en juillet 1958, Dominique Chipot exerce un mÃ©tier exigeant rigueur, mÃ©thode et organisation. Ressentant le besoin d'exprimer sa crÃ©ativitÃ© par ailleurs, il a choisi de pratiquer la photographie, en dilettante et autodidacte, privilÃ©giant les prises de vue de dÃ©tails insolites ou graphiques. Ãgalement attirÃ© par la littÃ©rature japonaise, il dÃ©couvre le haÃ¯ku dans le roman de SÃ´sekiÂ Oreiller d'herbeÂ et le tanka dans celui de YoshikawaÂ Parfaite lumiÃ¨re. De ces deux lectures est nÃ©e sa passion pour la poÃ©sie brÃ¨ve japonaise. Il ne cesse depuis de promouvoir le haÃ¯ku. RetraÃ§ant son histoire dÃ©jÃ centenaireÂ ; rÃ©vÃ©lant les techniques d'Ã©criture tout en invitant chacun Ã les dÃ©passerÂ ; fondant des pÃ©riodiques spÃ©cialisÃ©sÂ ; animant un groupe d'Ã©critures Ã NancyÂ ; crÃ©ant une piÃ¨ce de thÃ©Ã¢treÂ ; adaptant en franÃ§ais les haÃ¯kus japonais traduits par Makoto Kemmoku. Sa bibliographie en tÃ©moigne.

Avis sur cet auteur (1)

Couverture du livre « Je ne peux le croire ; Fukushima, Nagasaki, Hiroshima, haïkus et tankas » de Dominique Chipot aux éditions Bruno Doucey

lise lise sur Je ne peux le croire ; Fukushima, Nagasaki, Hiroshima, haïkus et tankas de Dominique Chipot

Ce livre est un choc. Les formes courtes se prêtent particulièrement bien à l'évocation de ces événements après lesquels la vie continue, ce qui est sans doute le plus brutal. Beau et cru.