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"Personne n’est le bienvenu à Arnhill. C’est un endroit glacial, sombre, aigre, renfermé sur lui-même, qui voit les visiteurs d’un mauvais oeil. A la fois stoïque, inébranlable et fatigué. C’est le genre de village qui vous accueille d’un regard de biais et salue votre départ d’un crachat dégoûté."
Avec un style simple C.J Tudor met dans le mille avec justesse et simplicité, les habitués de l’autrice retrouverons des effets que Stephen King emploi. On aborde le thème de la famille, le remord la quête de la vérité et une forme de vengeance. Des flashbacks vont ponctuer l’histoire. Mon bémol est que le roman manque d’homogénéité suivants les passages.
Un roman dont Maxime Chattam, Lee Child et Stephen King qui n’ont dit que du bien. Nous sommes immédiatement embarqué dans cette univers sombre et pesante. Je revois dans certaine certains trait du film Summer of 84. Je comprend pourquoi Stephen king dit du bien de ce roman avec des scènes angoissantes, glauques et fort en psychologie sans oublier les flashbacks. Nous sommes tenu en haleine.
L’autrice avait été encensé suite à son premier roman L’homme Craie par des auteurs tels Maxime Chattam ou le grand maître de l’horreur Stephen King. Au fil des pages les pièces d’un puzzle s’imbriquent, afin de nous emmener à un final surprenant que je ne spoilerai pas. Je me suis régalée avec une intrigue qui saura nous amener à réfléchir pleinement à toutes les pistes possibles.
"Gabe haïssait Noël, comme quiconque a un jour perdu quelqu’un. Noël s’empare de votre douleur et la hisse à des sommets inégalés. Toutes les cimes illuminées, les « First Noël » se liguent pour railler votre perte, vous rappeler qu’il n’existe aucun répit pour vous, aucune pause. Votre chagrin ne connaît pas de fin, et même si vous arrivez à le mettre de côté, comme une boîte de décorations, il revient toujours. Il réapparaît chaque année, aussi familier que le fantôme pourrissant de Jacob Marley"
Trois histoires en une.
Les chapitres sont courts et dynamiques. Plusieurs personnes prennent la parole au fil des différents chapitres et ça appuie le fait qu’il n’y a pas qu’une histoires mais plusieurs histoires qui entrent en scène.
Une atmosphère dérangeante créée l’ambiance angoissante de fonds.
On se trouve à Chapel Croft, petit village plein de secrets.
Les personnages sont très bien travaillés, attachants et même troublants. A commencer par le révérend Jack Brooks qui arrive dans ce village accompagné de sa fille Flo, en trainant derrière lui des évènements dramatiques et ignorés de tous. Dès le début de sa mutation dans le village il s’attire les foudres des villageois. Démarrer ainsi alors qu’on ne sait déjà pas ce qui s’est passé lors de son précédent poste de pasteur, ça ne va pas engager une relation saine ou apaisée.
De plus, très vite apparaissent des faits alarmants et étonnants pour un aussi petit village : la disparition d'un vicaire ainsi que celle de deux adolescentes trente ans en arrière, un incendie volontaire, un faux suicide, des apparitions fantomatiques. Il y est questions de femmes et enfants maltraités. Ah ! J’en oubliais presque le plus important, on y commémore les martyres du Sussex, brûlées pour sorcellerie en confectionnant des poupées de brindilles, les incandescentes. D’où le titre. Cette partie historique est intéressante, il s’agit de la répression contre les protestants sous le règne de Marie La Sanglante au XVIe siècle. Ambiance presque gothique par moments.
Disons que le côté exagéré avec ces multiples rebondissements, peut ne pas plaire à tout le monde. Ils sont assez rocambolesques et finalement pas ou trop peu crédibles. C’est ce que j’ai, de mon coté, trouvé excessif dans ce thriller.
Par contre la religion et ses cotés excessifs y sont bien abordés. Ses débords, que ce soit au XVIe siècle ou ces dernières décennies, sont bien exposés.
Ce qui sauve la lecture c’est qu’on se trompe plusieurs fois ; on pense avoir la solution, mais non, ça rebondit encore et encore. Intrigue et rebondissements sont au rendez-vous. Et la fin a été insoupçonnable pour moi.
Et ma petite cerise sur le gâteau ce serait d’ajouter que c’est bien une autrice anglaise qui a écrit ce livre, pas de doute.
Sang trouble - Robert galbraith
L'attention aux détails de JK Rowling est impressionnante, son style toujours agréable, les intrigues sont malignes, les personnages attachants, c'est vraiment 900 pages de plaisir !
Bien évidemment vous devez avoir lu les précédents pour vraiment vous immerger dans ce pavé.
J’ai eu très très grand plaisir à « enfin » lire ce dernier opus. Je suis une grande fan de Strike et Robin et j’ai eu un bonheur sans fin à suivre leurs aventures personnelles et leurs enquêtes.
A eux seuls, les plus de 900 pages se lisent comme une liste de courses
Un merveilleux moments de lecture.Je mets à grand regret, 4 étoiles seulement car beaucoup de longueurs qui auraient pu être éviter, essentiellement « les livres » dans le livre qui m’ont semblé longues et pas franchement utiles.
c'est avec un très grand plaisir que l'on retrouve le duo dans un "cold case" complexe avec en plus leurs autres enquêtes aux protagonistes un peu « déjantés »
On s'attache très facilement aux deux personnages principaux : robin et s
Strike. Hâte de connaître la suite de leurs aventures.
Heureuse de retrouver Strike et Robin dans une enquête tentaculaire qui nous transporte au fin fond de la culture anglaise. Les personnages, l’intrigue et les milieux explorés sont passionnant
Disparitions, meurtres, empoisonnements, mensonges...
Où l'on retrouve avec plaisir Robin et Cormoran qui tentent de résoudre une affaire non élucidée vieille de quarante ans.
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