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"En réalité, je m'appelais Hugo Spritz, spritz comme l'apéritif... et maintenant, je suis mort et enterré...."
Pour comprendre ce qui a mené Hugo face à sa pierre tombale, il faut remonter sept ans plus tôt, à Bruxelles. Ce jour-là, dans un magasin d'antiquités, Hugo achète une tête humaine provenant d'une tribu de cannibales, au grand dam de sa femme Pétula.
Les préfaces de Jules Edouard Moustic et Benoît Delépine donnent le ton d'un album très grolandais autour d'un personnage un peu loser, un peu naïf, qui se lance dans une arnaque un peu trop grosse pour lui. Mais je n'en dirai pas plus !
Bon sang ne saurait mentir, Robin Le Jean, graphiste illustrateur, est le fils de son père Bruno, ancien réalisateur de Groland et des Guignols. Forcément, le duo familial ne pouvait que pondre un album drôle, un peu burlesque qui s'appuie sur un scénario (à l'origine pour un long métrage) primé au festival de Valence en 2020.
Ce "Spritz !" est un breuvage bien agréable, divertissant, au ton original, un type d' humour qui n'est pas si courant en BD !
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