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"Son regard était gris-vert et ce que j'avais pris pour de la fragilité était en réalité une soif que j'étais incapable d'identifier."
J'ai bien accrochée aux personnages et au thème de ce thriller psychologique.
Je ne connaissais pas cette auteure, et je découvrirai son premier roman "Les filles des autres "avec plaisir.
Les filles des autres est, selon moi, davantage un roman noir et psychologique qu’un roman à suspense comme indiqué sur la couverture. Cela dit, malgré quelques langueurs, j’ai apprécié cette (ces) histoire(s) féminine(s) torturée(s).
Quand, un soir, une jeune fille sonne à leur porte puis s’effondre, Anna et Tom reconnaissent tout de suite leur enfant disparue il y a huit ans, Julie, à l’âge de treize ans. Sa peau est livide, ses yeux sont cernés, mais c’est certain, c’est bien elle. Enfin, si Tom en est persuadé, Anna va émettre de plus en plus de doutes. Et l’incursion d’un ancien inspecteur dans sa vie va mettre à mal la réjouissance des retrouvailles.
L’auteure nous emmène rapidement dans une direction qui, bien sûr, nous fait dire qu’il y aura forcément des rebondissements par la suite. Alors, en tant que lecteur, nous échafaudons des plans au fil des nombreux chapitres qui racontent tantôt les déboires de jeunes filles en proie aux démons les plus sombres, tantôt le quotidien de la famille Whitaker, mettant en lumière certaines failles.
Jane, la sœur de Julie, même si le récit débute par elle et même si elle fut témoin de l’enlèvement de sa sœur, a du mal, par la suite, à avoir un rôle important dans l’histoire. Elle n’apparaît que de temps à autre, et apporte finalement peu à l’intrigue. Tom, le père, est celui qui n’a jamais douté que sa fille ait pu survivre. Malgré que l’auteure ait souhaité insérer un petit secret le concernant, ce personnage n’est pas réellement développé non plus. Les deux protagonistes réellement mis en avant sont bien la mère et la fille disparue.
Mais Amy Gentry aborde d’autres thématiques qui ont, elles, toute leur importance dans le dénouement. En outre, afin de préserver le mystère, je n’en dévoilerai rien. J’ajouterai seulement que lorsque les fils de la toile se révèlent, la noirceur prend toute son ampleur, tout comme les problématiques contemporaines concernant les adolescents.
Un roman noir et psychologique à découvrir pour les fans du genre.
Sur mon blog : https://ducalmelucette.wordpress.com/2020/03/31/lecture-les-filles-des-autres-de-amy-gentry/
Dana et Amanda n’ont, à première vue, pas grand chose en commun, dans quelque domaine que ce soit.
Pourtant, au cours d’une conversation, elle vont rapidement se retrouver unies par des séquelles que de traumatismes communs.
Et si, grâce à cette rencontre fortuite, elles avaient enfin le moyen de se venger de leur agresseur respectif ?
Si chacune s’occupait de celui de l’autre, il n’y aurait aucune raison qu’elles soient inquiétées.
À moins que...
Voilà un thriller qui débute plutôt bien. L’idée est bonne, même si elle n’est pas tout à fait novatrice.
Deux inconnu(e)s qui se croisent par hasard et qui décident de se charger mutuellement de la vengeance de l’autre afin de ne pas se faire attraper, que ce soit en films ou en livres, on l’a déjà rencontrée.
J’avais beaucoup aimé le premier thriller d’Amy Gentry, « Les Filles des Autres », et j’entamais donc ce nouveau titre avec bon espoir de lui trouver autant de qualités.
Et il faut reconnaître que le début est bon. L’atmosphère est très bien restituée, le personnage de Dana suffisamment creusé pour que l’on ressente de l’empathie pour elle, et le principe que les deux filles mettent au point nous semble on ne peut plus justifié.
J’ai d’ailleurs retrouvé, dans la première partie du livre, tout j’avais aimé dans la plume de cette auteure la première fois.
Mais je dois aussi reconnaître que, malgré ça, De Si Bonnes Amies ne m’a pas transportée comme l’avait fait son premier titre.
Dans un premier temps parce que je trouvais les ficelles un peu trop grosses, et les twists un peu trop prévisibles.
Et dans un second temps parce que, contrairement au premier livre, j’ai eu la sensation que l’histoire mettait trop de temps à véritablement se mettre en place.
La fin, par contre, retrouve le punch du début, et, surtout, le roman se termine sur une touche non conventionnelle qui me plaît beaucoup.
Ça a donc été une lecture en demi-teinte pour moi, probablement parce que j’en attendais beaucoup vu mon ressenti pour son premier titre.
Il n’empêche que le talent est là, et que je continuerai donc à suivre cette auteure et à attendre ses nouveautés avec impatience.
À lire, pour vous faire votre propre opinion.
J'avais craqué pour les couleurs de la couverture. Je me suis dit pourquoi pas, il peut être pas mal à lire.
Grosse surprise !!!! J'ai dévoré ce livre en un peu plus de 24 heures.
L'histoire m'a totalement intrigué dès le premier chapitre. On découvre tellement de choses au fur et à mesure de la lecture.
Il est bien écrit, nous donne aucun mal à imaginer certain passages et les personnages sont assez agréables.
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