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Alain Wagneur

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Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « Djoliba, fleuve de sang » de Alain Wagneur aux éditions Actes Sud

    Elizabeth Pianon sur Djoliba, fleuve de sang de Alain Wagneur

    Un policier lent, qui manque de rythme.
    Des Landes au Mali, Zamanski enquête en solo sur le meurtre déguisé en suicide d’un de ses anciens profs.
    L’Afrique est au centre de ses recherches.
    C’est très actuel politiquement et se rapproche de faits réels ayant récemment existé .
    J’avoue...
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    Un policier lent, qui manque de rythme.
    Des Landes au Mali, Zamanski enquête en solo sur le meurtre déguisé en suicide d’un de ses anciens profs.
    L’Afrique est au centre de ses recherches.
    C’est très actuel politiquement et se rapproche de faits réels ayant récemment existé .
    J’avoue m’être un peu ennuyée au fil des pages et avoir trouvé le tout assez long, même si ce livre n’est pas mauvais en soi.

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    Couverture du livre « Djoliba, fleuve de sang » de Alain Wagneur aux éditions Actes Sud

    Christophe Dupuis de ENTRE-DEUX-NOIRS sur Djoliba, fleuve de sang de Alain Wagneur

    Finalement, Zamanski, finit par s'habituer à Blainville-sur-Mer, station balnéaire de la côte atlantique, où il a été placardisé il y a quelques années. Il traine son blues, sa carcasse et sa mauvaise humeur entre le commissariat - où il ne se passe pas grand chose (ce qui lui permet de se tenir...
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    Finalement, Zamanski, finit par s'habituer à Blainville-sur-Mer, station balnéaire de la côte atlantique, où il a été placardisé il y a quelques années. Il traine son blues, sa carcasse et sa mauvaise humeur entre le commissariat - où il ne se passe pas grand chose (ce qui lui permet de se tenir à carreau) - et la ville, qu'il commence à apprécier. Un soir il rencontre par hasard, une vieille connaissance, Claude Parvillier, un ancien prof, qui se trouve lui aussi vivre à Blainville. Ils boivent une bière, parlent du passé et échangent leurs cartes de visite. Carte que Zamanski s'empresse de détruire qui n'a pas envie de voir le passé ressurgir. Et pourtant, c'est lui qui est appelé deux jours plus tard pour constater le suicide de Parvillier. Un suicide constaté par tous (pas d'effraction, ni coups, le légiste est sur de son diagnostic) mais l'absence de lettre expliquant le geste et la disparition du portable de Parvillier vont éveiller la méfiance de Zamanski. Lui qui voulait se tenir tranquille va voir sa routine exploser, il finira même en Afrique !
    Djoliba, fleuve de sang est sans conteste le meilleur de la série Zamanski (les autres... qui ne déméritent pas, loin de là, sont disponibles en Babel noir). Le roman est très dense, avec de nombreuses histoires emmêlées qui viennent prendre place dans l'Histoire (la période pré-électorale de 2007, L'Arche de Zoé, la politique colonialiste...). Le livre fait un détour à Bamako, y croise les personnages mis en place par Moussa Konaté, c'est du grand art...