Alain SANDLER est né le 9 juin 1939 à Lyon, dans le Rhône. Son Papa artisan tailleur et sa Maman commerçante ont mené une vie de travail tout en étant très attachés à la famille. Un début de vie très perturbée par la guerre, avec un père arrêté par la Gestapo, dirigée à Lyon par Klaus Barbie, qui...
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Alain SANDLER est né le 9 juin 1939 à Lyon, dans le Rhône. Son Papa artisan tailleur et sa Maman commerçante ont mené une vie de travail tout en étant très attachés à la famille. Un début de vie très perturbée par la guerre, avec un père arrêté par la Gestapo, dirigée à Lyon par Klaus Barbie, qui s'en sort miraculeusement. Des études commerciales arrêtées prématurément et une entrée dans la vie professionnelle à 17 ans. Plusieurs petits boulots puis un départ pour 28 mois de service militaire, dont 16 mois passés dans le Constantinois, pendant le conflit franco-algérien. Au retour les choses sérieuses commencent, il entre comme représentant dans une entreprise de lingerie féminine, 6 ans plus tard il en devient le directeur général. Cette belle aventure dure 20 années pendant lesquelles il traverse un divorce, puis un remariage très heureux. Il est père de deux enfants. Après quelques difficultés avec un associé pas très honnête, il crée une entreprise concurrente, avec son épouse Christiane. Cette nouvelle aventure dure 11 ans. Et là, changement d'orientation à 180 degrés, il crée un cabinet de gestion de patrimoine, qu'il revend 12 ans après, mission accomplie, et prend sa retraite en 2004 à 65 ans. Alain SANDLER s'intéresse alors à la politique, non pas avec des ambitions électorales, mais pour défendre ses convictions citoyennes. Il crée une première association, le Cercle des Citoyens, qui devient le Cercle des Citoyens Français. Il souhaite que cette association soit un lien entre les citoyens, les élus et les médias. Il enrage de voir les citoyens français se laisser manipuler dans un système politique complètement sclérosé et rester inerte, léthargique alors que c'est à eux de réagir et de s'exprimer pour faire bouger la France. Il enrage qu'on lui dise très régulièrement, tes idées sont bonnes, c'est notre système politique qui est mauvais, mais tu vas te heurter à un mur, on ne peut rien faire contre cela. Tous les élus qu'il rencontre lors de dîner-débat qu'il organise, n'émettent que très peu d'objections sur les propositions du Cercle, ce n'est pas pour autant qu'ils agissent. Ils font de l'électoralisme. Quant à la Presse régionale, elle reste muette sur le sujet. Comme Alain est un obstiné, comme la situation du pays ne fait qu'empirer et que les origines du mal ne sont pas traitées, nos gouvernants ne traitant que les conséquences comme s'ils ne savaient pas que les mêmes maux produisent toujours les mêmes effets, il décide, soutenu par son Comité Directeur de changer le nom de son association qui devient : LES RÉSISTANTS. Depuis deux ans, il préparait un ouvrage sur le sujet. Il décide de le faire publier et de lancer une grande pétition nationale en faveur de la démocratie directe et de la réforme de l'article 3 de la Constitution pour faire respecter l'article 1 : la démocratie, c'est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.