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Qui vive

Couverture du livre « Qui vive » de Franck Gourdien aux éditions La Barque
  • Date de parution :
  • Editeur : La Barque
  • EAN : 9782917504314
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Cet ouvrage correspond à une récolte de poèmes écrits sur une période de trois ou quatre années, d'où les passages se laissent sentir.
Il se compose ainsi de trois parties : Poèmes I, Poèmes II et Poèmes III (une vingtaine de poèmes pour les deux premières, quelques-uns pour la dernière, et ce,... Voir plus

Cet ouvrage correspond à une récolte de poèmes écrits sur une période de trois ou quatre années, d'où les passages se laissent sentir.
Il se compose ainsi de trois parties : Poèmes I, Poèmes II et Poèmes III (une vingtaine de poèmes pour les deux premières, quelques-uns pour la dernière, et ce, dans l'ordre chronologique).
Éclats d'une traversée, poignées serties en un livre-recueil.Présence de la mer, de l'air, des arbres (déjà de par le titre : « Le Saule », « Le Sapin »), en un mot du monde donné, simplement là, d'où les poèmes se font l'empreinte en des sensations et des sens.
De loin en loin, on y retrouve, se dit-on, Yeats, Woolf, Plath... jusqu'à, plus clairement peut-être, la fameuse formule de Wittgenstein, « Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. », questionnée dans le poème intitulé « (Mais) souffler ce que l'on ne peut taire », façon non isolée de dire que la pensée s'exprime en cette poésie au creux d'un souci d'intégrité.
Si nous devions tenter de dire ce qu'un tel ouvrage apporterait à la poésie française actuelle, nous dirions : une syntaxe complexe, une musicalité rare, voire eceptionnelle, l'emploi de mots visant une rectitude dans le souci d'être au plus juste. Nous parlerions encore d'intensité, de densité, qui notamment passe par le regard, tout aussi intérieur qu'extérieur, auquel les poèmes se mesurent.
À cela, ajoutons la présence récurrente de motifs (celle d'un cheval par exemple, lequel se fait présence mentale, obsédante, propre à l'univers de l'auteur), de visions, d'adresses (en des dédicaces, une lettre)...
« D'un val humide, d'une aire automobile, d'une cuillère - comme d'un film, d'une peinture... la poésie point - nous y sommes pour si peu, or la poésie nous fait continuer d'être - en sa manière, nullement une habitude. » (F. G.) Par ces mots, l'auteur nous livre une confidence toute entière présente dans l'expérience que constitue son rapport à la poésie.

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