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Olympe de Gouges, le féminisme immolé ; La dernière lettre de Marie-Antoinette

Couverture du livre « Olympe de Gouges, le féminisme immolé ; La dernière lettre de Marie-Antoinette » de Alain Duprat aux éditions Publibook
  • Date de parution :
  • Editeur : Publibook
  • EAN : 9782342374087
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Deux pièces captivantes de courage, de conviction et de dignité face à la Révolution française.



Olympe de Gouges, le féminisme immolé :

Olympe de Gouges est née à Montauban en 1748. Connue pour ses pièces de théâtre et son militantisme en faveur des droits des femmes, elle rédigea en 1791... Voir plus

Deux pièces captivantes de courage, de conviction et de dignité face à la Révolution française.



Olympe de Gouges, le féminisme immolé :

Olympe de Gouges est née à Montauban en 1748. Connue pour ses pièces de théâtre et son militantisme en faveur des droits des femmes, elle rédigea en 1791 la Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne, s'inspirant de celle de 1789 pour exiger l'égalité entre hommes et femmes. Elle écrivit : « Femme, réveille-toi ; le tocsin de la raison se fait entendre dans tout l'univers ; reconnais tes droits. » Elle exprima des idées généreuses et proposa des projets très en avance sur son temps pour améliorer la vie en société. Durant la Révolution, elle s'opposa à Robespierre et à tous ceux qui imposèrent la Terreur. Elle alla jusqu'au bout de ses convictions. Humaniste convaincue, elle est sans doute une des plus belles figures de son temps. Elle affrontera la mort avec une dignité exemplaire le 3 novembre 1793.



La Dernière Lettre de Marie-Antoinette :

Nous sommes le 16 octobre 1793 au matin. Marie-Antoinette est enfermée dans sa cellule de la Conciergerie. Dans quelques heures, elle sera exécutée par décision du Tribunal Révolutionnaire, sur l'actuelle place de la Concorde. Elle vient d'achever de rédiger sa dernière lettre, véritable testament, qu'elle a adressée à Madame Élisabeth, sa belle-soeur, prisonnière à la prison du Temple. En la relisant, elle évoque des souvenirs délicats ainsi que les événements qui ont conduit à sa condamnation. Elle apparaît comme une femme lucide, loin de la jeune reine frivole tant décriée par les pamphlétaires haineux. Elle ne fut jamais aussi grande que dans les moments douloureux.

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