Marcus est un pénitencier. Un prêtre capable de déceler le mal enfoui en nous. Mais il ne peut pas toujours lui faire barrage. Sandra est enquêtrice photo pour la police. Elle photographie les scènes de crime. Et ferme parfois les yeux. Face à la psychose qui s'empare de Rome ils vont unir leurs talents pour traquer un monstre. Ses victimes : des couples. Une balle dans la nuque pour lui. Une longue séance de torture pour elle.
Quel et l'être maléfique qui ne tue que des jeunes amoureux ?
Second opus de la série Marcus et Sandra, on replonge rapidement dans le vif, en plein cœur du Vatican, une intrigue surprenante respectant les codes du thriller. Marcus et Sandra son sur les traces d'un tueur sans pitié dans une enquête sombre. L' intrigue est très documentée et maitrisé. Tout s'enchaine habillement, une enquête palpitante, quelques longueurs mais je recommande.
"Qu’y a-t-il de plus beau que le mystère de l’avenir ? Y compris les drames et les appréhensions. Les hommes qui ne doivent plus s’en soucier, c’est comme s’ils avaient mené à terme en avance le but de leur existence."
"L'indifférence est votre plus grande alliée, parce que ce qui compte n'est pas ce que vous avez devant l'objectif, mais ce qui n'y est pas, avait ajouté l'instructeur avant de répéter: Apprenez à photographier le vide."
Depuis le début de l'année, je reprends, dans l'ordre les enquêtes de Marcus et Sandra après avoir malencontreusement lu le troisième tome l'année dernière.
Avec celui-ci, on en apprend davantage sur le passé de Marcus, ce prêtre amnésique qui est enquêteur pour le Tribunal des Âmes, ce tribunal ecclésiastique qui juge des crimes impunis ...
Dans cet opus, dans les environs de Rome, de jeunes couples sont assassinés dans des conditions atroces.
L'enquête piétine, les indices étant peu nombreux, jusqu'à ce que Sandra examine les manques plutôt que les présences ...
A chaque nouveau crime, de nouveaux maigres indices seront découverts qui permettront la découverte du tueur dans un coup de théâtre final que je n'avais pas vu arriver !
Un thriller bien ficelé comme je les aime avec des personnages bien campés, des caractères affirmés, et la découverte progressive du passé de Marcus au fil de sa réappropriation de ses souvenirs !
En complément de ces histoires bien ficelées, ce qui m'enchante dans les romans de Donato Carrisi, c'est la façon dont il nous distille des infos historiques sur la ville de Rome.
J'ai ainsi appris dans ce roman que Néron avait été enterré initialement sous l'actuelle église Santa Maria del Popolo, l'une de mes préférées. ou qu'un des bandits de la célèbre Bande de la Magliana (celle de Romanzo Populare) avait été inhumé dans Sant' Appolinare, près de la pza Navona !
Bref un thriller qui me donne des idées de visite ... j'en redemande !
Vivement le prochain opus ... (à moins que je ne me laisse tenter par un autre des romans de Donato Carrisi )
A suivre !
On retrouve le pénitencier du tribunal des âmes, l'histoire est difficile à lâcher. Les personnages sont attachants, la frontière entre le bien et le mal floue ...
J'ai eu bien du mal à ne pas le lire en 1 soir ... alors qu'est ce qu'on attend de plus ...
Un thriller qu'on a bien du mal à lâcher et pourtant il est impossible de lire les 442 pages en une seule fois.
Sandra, enquêtrice photos dans la police a du mal sur les scènes de crime qui lui rappellent trop souvent la mort de son mari.
Et pourtant elle doit faire face à une série de scènes choquantes.En effet la panique et la psychose se sont emparaient de Rome. Un tueur, à l'affut des couples , tue l'homme d'une balle dans la nuque et la femme de plusieurs coups de couteau voire une longue séance de torture.
Qui est ce tueur qui laisse derrière lui comme un jeu de piste, des indices .........
La police a bien du mal à comprendre mais Sandra est futée et avec l'aide de Marcus, pénitencier , elle va découvrir des indices qui vont les mener vers le ........ ou les ........ coupables.
Un bon thriller comme les écrit si bien Donato CARRISI.
https://hidesbouquine.blogspot.fr/2017/10/malefico-marcus-le-penitencier-2-donato.html
J’aime beaucoup l’ambiance instauré par Donato Carrisi dans ces romans. Cette barrière entre le bien et le mal qui est quasi-inexistante. J’aime aussi cette Rome propice à cette atmosphère ésotérique. Malefico ne déroge pas à la règle !
Malheureusement, un nouveau monstre a vu le jour à Rome. Ses victimes sont des couples. Une balle dans la nuque pour l’homme. Une longue séance de torture est réservée à la compagne… Sympathique modus operandi non ?
J’avais très envie de découvrir l’être maléfique qui arpente les rues de Rome en tuant des jeunes amoureux, semant la terreur. Bon je dois aussi avouer que je voulais à nouveau savourer la plume ainsi que les histoires de Monsieur Carrisi !
Malefico est à la hauteur de ces précédents romans. Son histoire est ahurissante, savamment bien orchestré, bien maitrisé, doté d’un rythme intense et percutant ! On ne ressort pas indemne de cette rencontre avec cet être maléfique.
Venez-vous perdre une nouvelle fois dans cette histoire d’une Rome sous tension, qui vit des heures bien sombre au côté de ce pénitencier qui travaille dans l’ombre, et de cette photographe qui veut mettre en lumière la plus sordide des scènes de crimes.
L’auteur nous livre à nouveau un récit troublant. Basé sur de nombreux faits réels, Donato Carrisi innove une fois encore en ce qui concerne le concept du mal, faisant de Malefico un roman original. Il nous plonge dans un roman captivant particulièrement sombre.
La force de ce roman ne réside pas seulement dans son intrigue mais résolument dans les personnages si finement bien travaillés. Ils sont troublants de réalisme, il est facile de s’attacher à eux. On prend notamment beaucoup de plaisir à découvrir ou redécouvrir Marcus et Sandra. Tout d’abord, ce mystérieux pénitencier, Marcus est bluffant dans sa façon d’incarner le mal, de s’identifier au tueur. Quand à Sandra, cela a été vraiment plaisant d’avoir pu assister à son évolution, moins meurtri.
Je ne révèlerai rien de plus concernant son intrigue, Malefico doit garder tout son mystère pour être pleinement apprécié. Je reviendrais une dernière fois sur les actes macabres de ce nouveau tueur qui hante Rome. Ils sont vraiment prenants et intense, ne donnant aucun temps mort à son lecteur ! Puis si vous avez lu Le tribunal des âmes, vous savez à quoi vous attendre, avec Monsieur Carrisi et son Marcus, notre chasseur de ténèbres… Juste une chose, lorsqu’au fil des pages, toute la vérité ainsi que la folie des hommes se révèle, votre sang se glacera d’effroi...
Malefico est une histoire qui vous coupe le souffle, se révélant être incroyable. Un subtil cocktail de religion, d’ésotérisme, tout en étant une cure de jouvence sur l’étude du comportement humain. Tout simplement parfait !
Un très bon polar que j'ai lu d'une traite! Les deux personnages principaux, Sandra l'enquêtrice de la police qui photographie les scènes de crime et Marcus le pénitencier qui traque le mal sont complexes et attachants. Les personnages secondaires notamment le vice-procureur apporte du relief à l'enquête.
Donato Carrisi est devenu en trois livres, un de mes auteurs de thrillers favoris. A chaque nouvel opus, je trouve qu’il apporte une originalité, une façon bien à lui de traiter le sujet, en dehors des sentiers battus. Il se différencie des spécialistes du genre en modifiant les codes.
Donc lorsque j’ai eu l’occasion de lire celui-ci, je ne me suis pas fait prier. Je n’avais pas lu « Le tribunal des âmes », le précédent, mais ce n’est pas vraiment pénalisant, car il peut se lire indépendamment.
Donato Carrisi utilise ce qui fait sa grande force et nous met une nouvelle fois en présence de personnages charismatiques. Sandra et Marcus sont des protagonistes si atypiques qu’ils en deviennent marquants. Petit à petit, des informations sur leur passé sont distillées, ce qui permet d’étoffer leurs vécus personnels et de nous les rendre encore plus attachants. On est alors entrainé mécaniquement dans leurs aventures.
Cette fois-ci, Donato Carrisi s’attaque à une histoire ésotérique au cœur de Rome. On découvre ainsi différemment des hauts lieux de la capitale italienne. On ouvre des portes secrètes, on entre dans des endroits interdits et on tire le fil d’une machination diabolique.
Comme à son habitude, tout est parfaitement ficelé. L’écriture est fluide et le scénario bien huilé, pour nous garder sous tension. Même si certains événements sont un peu tirés par les cheveux, ce thriller se révèle d’une grande efficacité.
L’auteur italien semble avoir créé un cycle sur le Mal et ses disciples que je vais suivre avec plaisir. J’ai parfois senti que les éléments du « Tribunal des âmes » me manquaient pour appréhender au mieux les héros de ce roman. J’ai trouvé aussi que l’histoire était un poil plus classique que la série « Le chuchoteur ». Ce ne sera donc pas un coup de cœur pour moi mais je ressors tout de même enthousiasmé par un nouveau très bon Carrisi.
J’ai eu la chance d’être sélectionnée pour être jury polar cette saison et dans ma liste j’avais demandé Malefico.
Le synopsis disait ceci : un homme amnésique se réveille sur un lit d’hôpital à Prague et un prêtre lui annonce qu’il a deux choix possibles : prendre une enveloppe où se trouve de l’argent à l’intérieur pour refaire sa vie, ou bien prendre l’autre enveloppe qui le mènera à Rome et où il trouvera des réponses sur son passé.
J’ai presque supplié l’équipe de lecteurs.com pour qu’il m’envoie le roman. Je me doutais que cet homme choisirait son passé et je voulais savoir ce qu’il avait oublié.
Et puis j’ai reçu le livre et en lisant la 4ème de couverture j’ai pu voir les mots « un monstre tue des couples, les hommes d’une balle dans la tête, les femmes après une longue séance de torture. »
Et là j’ai cru défaillir, je me suis dit, je ne vais jamais pouvoir lire ça, c’est trop gore. J’ai pensé à le filer en douce à des gens plus téméraires que moi, qui m’en ferait un résumé. Et puis je me suis dit : mince, tu as voulu être jury polar, forcément ce n’est pas rose.
Et je ne regrette pas, parce que ce roman n’est pas gore ! Assez parlé de moi, il est temps que je vous parle de ce livre.
L’histoire se déroule à Rome où religion, superstition et crimes se mêlent. Cet univers m’a fait penser à celui de Dan Brown (le symbole perdu, anges et démons.)
Il y a pour moi deux intrigues dans ce roman, la première qui évoque un meurtre au Vatican et qui revient en toute fin du récit et au milieu une seconde intrigue qui repose sur ce que nous explique la 4ème de couverture : un monstre terrorise Rome en assassinant des couples qui se retrouve pour s’aimer dans des endroits isolés. Plusieurs personnes mènent l’enquête. Il y a la police, Sandra une enquêtrice photo et Marcus, cet homme à la recherche de son passé, qui est un pénitencier, capable de déceler le mal.
J’avoue avoir eu peur de lire le roman le soir, j’avais peur d’avoir peur. Mais je n’ai pas eu le choix bien longtemps parce que j’ai été happé par le roman. Je suis complètement tombée dedans et l’auteur m’a mené par le bout du nez. Où est-ce qu’il trouve toute cette inspiration ? (On a quelques réponses sur ça dans une interview à la fin du roman)
J’avoue encore qu’il y a des choses que je n’ai pas compris. Par exemple, je n’ai pas compris la fin du roman. Tout ce qui est mystique autour de la religion, qui mêle superstition, science occulte et satanisme m’embrouille. L’auteur a tenté de donné des explications « rationnelles » de faire expliquer par des personnages que c’est une évidence : la mal est là pour que le bien puisse exister. Evidence que je n’ai visiblement pas compris.
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