Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
«La réception critique des Racines du ciel revient sans cesse à la fois sur la confusion et sur la puissance qui se dégagent d'un récit "symphonique". Tous les critiques de l'époque reviennent sur le caractère touffu du récit et la lourdeur du style. Cependant, il obtient le prix Goncourt au premier tour. C'est une consécration à laquelle tient Romain Gary, cet écrivain venu d'ailleurs, dont la mère rêvait pour lui du prix Nobel. Ce prix avait de quoi réjouir Gary, qui constate avec bonheur que la presse fait sa une d'un roman, et non plus de la triste réalité : en 1956, les journaux résonnent des événements d'Algérie, des décolonisations en marche, dans la douleur parfois, de la nationalisation du canal de Suez et de la crise internationale qui s'ensuivit, de l'échec de la révolution hongroise... Ce qui enchante Gary, c'est de voir que le monde peut s'intéresser à une fiction. [...] Puissance du récit, épopée africaine, saveur humaine, le livre a su retenir l'attention parce qu'il soulève des questions de son temps. La réception du roman montre aussi à quel point ce roman touffu a pu déstabiliser et déranger la critique comme bien des lecteurs. Cette lecture va tenter d'en restituer la richesse et l'impertinence.» Firyel Abdeljaouad.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...