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Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

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  • BlackSwan a dit :
    Même si je ne crois pas à l'astrologie, je vais comme même jouer le jeu. je suis sagittaire, et je cherche des livres intéressants donc des lecteurs intéressants…a vous

    Bonjour Black Swan . Si tu suis les pages tu pourras découvrir que nous avons mis en place et participé à plusieurs petits exercices . Tu peux y participer si tu veux et mettre tes petits textes à la suite de l’exercice proposé . Le dernier proposé est à la page72 comme te l’a suggéré si gentiment Cymone . Tu pourras aussi nous proposer des accroches . Bon dimanche
  • Kryan a dit :
    Mon petit cœur, mon cher petit cœur,

    Allez je me lance les dés sont sur le tapis. Les carottes sont cuites, ce qui est dit est dit ce qui est fait est fait.

    J'en ai des papillons dans le cœur, ce cœur qui n'appartient qu'à toi.
    Le chasseur est affamé, et moi je suis affamée de toi. De ton sourire, de ta grâce, de ta délicatesse, de ta nonchalance, de la nostalgie qu'il y a dans ton regard, de ta tendresse et de ta bonne humeur, de ta présence lumineuse et magique.

    Il fait chaud à Suez, où je me suis réfugiée suite à notre dispute.

    J'ai envie de rentrer, de rentrer là où le sapin reste toujours vert, dans nos montagnes adorées et surtout de retrouver tes bras, doux et forts à la fois, et ton odeur de feu de bois.

    Je sais que tu fais peur aux gens, mais c'est parce qu'ils ne te connaîssent pas, qu'ils ne te comprennent pas. Ils ont peur de la différence. Tu le sais bien.

    Mon yéti, mon cher Yéti des Neiges, tu me manques, tu me manques tellement.

    Le Coq dresse sa tête, il a envie d'en découdre comme moi lorsque j'ai appris que tu m'avais trompé avec le bonhomme de neige.

    Je te pardonne, je te pardonne de tout mon cœur. Et le coq chantera trois fois pour nos retrouvailles.

    Je t'en prie, laisse-moi rentrer. Je sais que Nancy a un torticolis, que notre fille est fragile du cou.Tu le sais qu'elle a besoin de moi. Quand elle était petite, on l'appelait pour rire la girafe. La girafe a un long cou chantaient les enfants.

    Notre fille te ressemble, elle te ressemble vraiment. Je sais qu'elle souffre de sa différence aussi. Je sais qu'elle serait capable de faire plein de bêtises pour échapper à son destin. De Yetie des Neiges.
    Elle a besoin de mes conseils.

    Dis bien aux voisins et aux voisines ne faites pas de plaisanteries. Sur notre couple atypique. L'essentiel est ailleurs. L'essentiel est l'amour.

    S'il te plaît, laisse-moi rentrer à la maison. Je ne serai plus jalouse. Je serai à tes côtés. Pour toujours et à jamais.

    Ta Fée Clochette.


    Bravo Kryan! Belle inspiration !
  • Ma moitié ! Je vogue sur le canal, les yeux dans l'horizon et le coeur tout contre toi. Et même sur l'eau paisible, qu'est-ce qu'il fait chaud à Suez !
    Figure toi qu'il se passent ici des évènements pour le moins étranges. Je suis dans ma cabine quand une voix parvient jusqu'à moi: "mon p'tit ne faîtes pas de plaisanterie ! Le chasseur est affamé !
    Intriguée, je regarde par le hublot, au même moment le coq dresse sa tête:" les carottes sont cuites ma pauvre Nancy, les dés sont sur le tapis, la marmite au feu et le vin débouché."
    "Mais ce n'est pas possible, ça ne peut pas finir ainsi !"
    Tandis que je me penche un plus avant pour voir à qui appartient cette voix, une énorme masse de poils s'écrase contre le carreau. J'ai peine à y croire mon amour et tu dois te dire que j'ai sûrement égarée ma raison, mais cette voix est celle de la girafe qui pour couronner le tout se nomme Nancy. Comme tu le sais, la girafe à un long cou et c'est en voulant sauver le coq qu'elle a heurté le hublot dans un bruit de vertèbres froissées. Je suis sortie en trombe juste à temps pour la redresser mais force est de constater, Nancy à le torticolis !
    Et le coq me diras-tu ? Le coq chantera trois fois pour sa girafe bien aimée et finira en sauce, maudit chasseur !
    Nancy reste inconsolable, son amour est parti, lui qui l'emmenait là où le sapin reste toujours vert. C'est bien triste.
    Je vais raccompagner Nancy dans sa savane et lui ai promis que nous lui enverrions une carte des Alpes lors de notre prochain séjour.
    Je t'embrasse, ma moitié, en attendant d'être dans tes bras.

    P.S: Je te joins une photos de moi et Nancy
  • GWEN L.S a dit :
    Bravo Kryan! Belle inspiration !


    Merci. J'aime bien délirer parfois ça permet de s'échapper du quotidien bon dimanche
  • GWEN L.S a dit :
    Ma moitié ! Je vogue sur le canal, les yeux dans l'horizon et le coeur tout contre toi. Et même sur l'eau paisible, qu'est-ce qu'il fait chaud à Suez !
    Figure toi qu'il se passent ici des évènements pour le moins étranges. Je suis dans ma cabine quand une voix parvient jusqu'à moi: "mon p'tit ne faîtes pas de plaisanterie ! Le chasseur est affamé !
    Intriguée, je regarde par le hublot, au même moment le coq dresse sa tête:" les carottes sont

    cuites ma pauvre Nancy, les dés sont sur le tapis, la marmite au feu et le vin débouché."
    "Mais ce n'est pas possible, ça ne peut pas finir ainsi !"
    Tandis que je me penche un plus avant pour voir à qui appartient cette voix, une énorme masse de poils s'écrase contre le carreau. J'ai peine à y croire mon amour et tu dois te dire que j'ai sûrement égarée ma raison, mais cette voix est celle de la girafe qui pour couronner le tout se nomme Nancy. Comme tu le sais, la girafe à un long cou et c'est en voulant sauver le coq qu'elle a heurté le hublot dans un bruit de vertèbres froissées. Je suis sortie en trombe juste à temps pour la redresser mais force est de constater, Nancy à le torticolis !
    Et le coq me diras-tu ? Le coq chantera trois fois pour sa girafe bien aimée et finira en sauce, maudit chasseur !
    Nancy reste inconsolable, son amour est parti, lui qui l'emmenait là où le sapin reste toujours vert. C'est bien triste.
    Je vais raccompagner Nancy dans sa savane et lui ai promis que nous lui enverrions une carte des Alpes lors de notre prochain séjour.
    Je t'embrasse, ma moitié, en attendant d'être dans tes bras.

    P.S: Je te joins une photos de moi et Nancy


    Super. Je me suis régalée
  • GWEN L.S a dit :
    Ma moitié ! Je vogue sur le canal, les yeux dans l'horizon et le coeur tout contre toi. Et même sur l'eau paisible, qu'est-ce qu'il fait chaud à Suez !
    Figure toi qu'il se passent ici des évènements pour le moins étranges. Je suis dans ma cabine quand une voix parvient jusqu'à moi: "mon p'tit ne faîtes pas de plaisanterie ! Le chasseur est affamé !
    Intriguée, je regarde par le hublot, au même moment le coq dresse sa tête:" les carottes sont cuites ma pauvre Nancy, les dés sont sur le tapis, la marmite au feu et le vin débouché."
    "Mais ce n'est pas possible, ça ne peut pas finir ainsi !"
    Tandis que je me penche un plus avant pour voir à qui appartient cette voix, une énorme masse de poils s'écrase contre le carreau. J'ai peine à y croire mon amour et tu dois te dire que j'ai sûrement égarée ma raison, mais cette voix est celle de la girafe qui pour couronner le tout se nomme Nancy. Comme tu le sais, la girafe à un long cou et c'est en voulant sauver le coq qu'elle a heurté le hublot dans un bruit de vertèbres froissées. Je suis sortie en trombe juste à temps pour la redresser mais force est de constater, Nancy à le torticolis !
    Et le coq me diras-tu ? Le coq chantera trois fois pour sa girafe bien aimée et finira en sauce, maudit chasseur !
    Nancy reste inconsolable, son amour est parti, lui qui l'emmenait là où le sapin reste toujours vert. C'est bien triste.
    Je vais raccompagner Nancy dans sa savane et lui ai promis que nous lui enverrions une carte des Alpes lors de notre prochain séjour.
    Je t'embrasse, ma moitié, en attendant d'être dans tes bras.

    P.S: Je te joins une photos de moi et Nancy

    Génial!!! Merci pour cette jolie lettre pleine d’humour
  • Bonjour à toutes et à tous en ce dimanche. Etant un peu occupée ces derniers temps je n'ai pas toujours réagi à vos textes mais je les ai tous appréciés.
    A mon tour de vous transmettre le mien.

    Mon amour,
    Si je t’écris cette lettre c’est pour te dire ô combien je regrette cette décision stupide qui m’a éloignée de toi et que j’ai prise un soir après une énième dispute entre nous. Ce soir-là je me suis dit qu’il n’y avait plus rien à faire. J’ai alors pensé « les dés sont sur le tapis », « les carottes sont cuites ». Le lendemain j’avais fait mes valises et je partais panser mes blessures au pays des pyramides. Une croisière en Égypte, cela faisait si longtemps que j’en rêvais mais je n’avais jamais imaginé me promener seule sur les bords du Nil. Mes pérégrinations m’ont mené dans un petit port où j’ai fait escale quelques jours et je peux t’assurer « qu’il fait chaud à Suez » à cette époque de l’année. C’est là que j’ai rencontré d’étranges personnages qui ont l’air de fous. Ils portent tous des noms bizarres tel que « Nancy a le torticolis », « la girafe a un long cou » ou « le chasseur est affamé ». Parfois j’ai envie de leur crier d’arrêter, de leur dire « ne faites pas de plaisanteries », ça ne marche pas avec moi mais peine perdue, ils continuent d’agir de manière irrationnelle et de tenir des propos incohérents. Alors je me réfugie dans ma chambre et je pleure sur mon sort et sur notre amour tout mon soûl. C’est alors que mes sanglots intriguent tous les animaux alentours. Le coq dresse sa tête, son petit œil pétillant me ramène soudain à la réalité. C’est décidé dès que le coq chantera trois fois je fais mes valises pour venir te retrouver, si tu veux bien encore de moi mon ange. Ici il fait chaud et pourtant c’est l’hiver dans mon cœur sans toi à mes côtés. Comme le sapin reste toujours vert, le merle trouve refuge au creux de ses branches pour construire son nid et se protéger du froid. Tout comme lui je veux me blottir dans tes bras robustes, que tu me protèges de tous les dangers comme tu sais si bien le faire. Voilà c’est terminé je pose mon stylo car le chant du coq a sonné le glas de ma vanité. Dans quelques heures nous serons à nouveau ensemble. Deux amoureux libres et heureux que rien ni personne ne pourra plus jamais séparer.
  • CLAUDE MARCHADIER a dit :
    Bonjour à toutes et à tous en ce dimanche. Etant un peu occupée ces derniers temps je n'ai pas toujours réagi à vos textes mais je les ai tous appréciés.
    A mon tour de vous transmettre le mien.

    Mon amour,
    Si je t’écris cette lettre c’est pour te dire ô combien je regrette cette décision stupide qui m’a éloignée de toi et que j’ai prise un soir après une énième dispute entre nous. Ce soir-là je me

    suis dit qu’il n’y avait plus rien à faire. J’ai alors pensé « les dés sont sur le tapis », « les carottes sont cuites ». Le lendemain j’avais fait mes valises et je partais panser mes blessures au pays des pyramides. Une croisière en Égypte, cela faisait si longtemps que j’en rêvais mais je n’avais jamais imaginé me promener seule sur les bords du Nil. Mes pérégrinations m’ont mené dans un petit port où j’ai fait escale quelques jours et je peux t’assurer « qu’il fait chaud à Suez » à cette époque de l’année. C’est là que j’ai rencontré d’étranges personnages qui ont l’air de fous. Ils portent tous des noms bizarres tel que « Nancy a le torticolis », « la girafe a un long cou » ou « le chasseur est affamé ». Parfois j’ai envie de leur crier d’arrêter, de leur dire « ne faites pas de plaisanteries », ça ne marche pas avec moi mais peine perdue, ils continuent d’agir de manière irrationnelle et de tenir des propos incohérents. Alors je me réfugie dans ma chambre et je pleure sur mon sort et sur notre amour tout mon soûl. C’est alors que mes sanglots intriguent tous les animaux alentours. Le coq dresse sa tête, son petit œil pétillant me ramène soudain à la réalité. C’est décidé dès que le coq chantera trois fois je fais mes valises pour venir te retrouver, si tu veux bien encore de moi mon ange. Ici il fait chaud et pourtant c’est l’hiver dans mon cœur sans toi à mes côtés. Comme le sapin reste toujours vert, le merle trouve refuge au creux de ses branches pour construire son nid et se protéger du froid. Tout comme lui je veux me blottir dans tes bras robustes, que tu me protèges de tous les dangers comme tu sais si bien le faire. Voilà c’est terminé je pose mon stylo car le chant du coq a sonné le glas de ma vanité. Dans quelques heures nous serons à nouveau ensemble. Deux amoureux libres et heureux que rien ni personne ne pourra plus jamais séparer.


    Bonsoir, merci beaucoup pour ce beau texte. Et ne vous inquiétez pas vous faites les choses à votre allure. Zénitude.
  • CLAUDE MARCHADIER a dit :
    Bonjour à toutes et à tous en ce dimanche. Etant un peu occupée ces derniers temps je n'ai pas toujours réagi à vos textes mais je les ai tous appréciés.
    A mon tour de vous transmettre le mien.

    Mon amour,
    Si je t’écris cette lettre c’est pour te dire ô combien je regrette cette décision stupide qui m’a éloignée de toi et que j’ai prise
    un soir après une énième dispute entre

    nous. Ce soir-là je me suis dit qu’il n’y avait plus rien à faire. J’ai alors pensé « les dés sont sur le tapis », « les carottes sont
    cuites ». Le lendemain j’avais fait mes valises et je partais panser mes blessures au pays des pyramides. Une croisière en Égypte, cela faisait si longtemps que j’en rêvais mais je n’avais jamais imaginé me promener seule sur les bords du Nil. Mes pérégrinations m’ont mené dans un petit port où j’ai fait escale quelques jours et je peux t’assurer « qu’il fait chaud à Suez » à cette époque de l’année. C’est là que j’ai rencontré d’étranges personnages qui ont l’air de fous. Ils portent tous des noms bizarres tel que « Nancy a le torticolis », « la girafe a un long cou » ou « le chasseur est affamé ». Parfois j’ai envie de leur crier d’arrêter, de leur dire « ne faites pas de plaisanteries », ça ne marche pas avec moi mais peine perdue, ils continuent d’agir de manière irrationnelle et de tenir des propos incohérents. Alors je me réfugie dans ma chambre et je pleure sur mon sort et sur notre amour tout mon soûl. C’est alors que mes sanglots intriguent tous les animaux alentours. Le coq dresse sa tête, son petit œil pétillant me ramène soudain à la réalité. C’est décidé dès que le coq chantera trois fois je fais mes valises pour venir te retrouver, si tu veux bien encore de moi mon ange. Ici il fait chaud et pourtant c’est l’hiver dans mon cœur sans toi à mes côtés. Comme le sapin reste toujours vert, le merle trouve refuge au creux de ses branches pour construire son nid et se protéger du froid. Tout comme lui je veux me blottir dans tes bras robustes, que tu me protèges de tous les dangers comme tu sais si bien le faire. Voilà c’est terminé je pose mon stylo car le chant du coq a sonné le glas de ma vanité. Dans quelques heures nous serons à nouveau ensemble. Deux amoureux libres et heureux que rien ni personne ne pourra plus jamais séparer.
  • CLAUDE MARCHADIER a dit :
    Bonjour à toutes et à tous en ce dimanche. Etant un peu occupée ces derniers temps je n'ai pas toujours réagi à vos textes mais je les ai tous appréciés.
    A mon tour de vous transmettre le mien.

    Mon amour,
    Si je t’écris cette lettre c’est pour te dire ô combien je regrette cette décision stupide
    qui m’a éloignée de toi et que j’ai prise un soir après une énième dispute entre nous.
    Ce soir-là je me suis dit qu’il n’y avait plus
    rien à faire. J’ai alors pensé « les dés sont sur le tapis », « les carottes sont cuites ». Le lendemain j’avais fait mes valises et je partais panser mes blessures au pays des pyramides. Une croisière en Égypte, cela faisait si longtemps que j’en rêvais mais je n’avais jamais imaginé me promener seule sur les bords du Nil. Mes pérégrinations m’ont mené dans un petit port où j’ai fait escale quelques jours et je peux t’assurer « qu’il fait chaud à Suez » à cette époque de l’année. C’est là que j’ai rencontré d’étranges personnages qui ont l’air de fous. Ils portent tous des noms bizarres tel que « Nancy a le torticolis », « la girafe a un long cou » ou « le chasseur est affamé ». Parfois j’ai envie de leur crier d’arrêter, de leur dire « ne faites pas de plaisanteries », ça ne marche pas avec moi mais peine perdue, ils continuent d’agir de manière irrationnelle et de tenir des propos incohérents. Alors je me réfugie dans ma chambre et je pleure sur mon sort et sur notre amour tout mon soûl. C’est alors que mes sanglots intriguent tous les animaux alentours. Le coq dresse sa tête, son petit œil pétillant me ramène soudain à la réalité. C’est décidé dès que le coq chantera trois fois je fais mes valises pour venir te retrouver, si tu veux bien encore de moi mon ange. Ici il fait chaud et pourtant c’est l’hiver dans mon cœur sans toi à mes côtés. Comme le sapin reste toujours vert, le merle trouve refuge au creux de ses branches pour construire son nid et se protéger du froid. Tout comme lui je veux me blottir dans tes bras robustes, que tu me protèges de tous les dangers comme tu sais si bien le faire. Voilà c’est terminé je pose mon stylo car le chant du coq a sonné le glas de ma vanité. Dans quelques heures nous serons à nouveau ensemble. Deux amoureux libres et heureux que rien ni personne ne pourra plus jamais séparer.

    Superbe! Elle mérite d’être consolée pour son si bel amour ! Bravo!

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