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Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

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  • C'est toujours une joie de vous lire!
    Bonne journée!
  • J’errais solitaire nuage,
    Qui vogue haut sur monts et vaux
    Quand d'un coup je vis une foule qui scintillait sous le soleil
    N'allez pas croire qu'il y avait là des rois ou des puissants
    chamarrés d'or et d'argent
    non, seulement de pauvres ères
    échappés des fureurs de la mer
    et que des ONG avaient vêtus
    de couvertures de survie.
    dont le clinquant dérisoire
    cachait le désespoir
  • BRAVO AUSSI ]J’errais solitaire nuage,
    Qui vogue haut sur monts et vaux
    Quand d'un coup je vis une foule qui scintillait sous le soleil
    N'allez pas croire qu'il y avait là des rois ou des puissants
    chamarrés d'or et d'argent
    non, seulement de pauvres ères
    échappés des fureurs de la mer
    et que des ONG avaient vêtus
    de couvertures de survie.
    dont le clinquant dérisoire
    cachait le désespoir[/quote]
  • Coucou , voulez-vous jouer à un petit jeu .
    Je vous donne trois phrases:
    «  le boulanger en était sûr pourtant , il en avait comptés vingt quatre »
    «  Noémie marchait le long du sentier , tête basse »
    «  je m’étais accoutumé(e) à ces moments imprévisibles »
    A vous de les inclure dans une histoire .
    Amusez vous bien, laissez parler votre imagination. Belle journée . Prenez soin de vous
  • Coucou , voulez-vous jouer à un petit jeu .
    Je vous donne trois phrases:
    «  le boulanger en était sûr pourtant , il en avait comptés vingt quatre »
    «  Noémie marchait le long du sentier , tête basse »
    «  je m’étais accoutumé(e) à ces moments imprévisibles »
    A vous de les inclure dans une histoire .
    Amusez vous bien, laissez parler votre imagination. Belle journée . Prenez soin de vous
  • MON TEXTE écrit sur l'ACCROCHE DE DOMINIQUE BERNARD:
    En cette fin de matinée pluvieuse, d’un mois de mai vraiment tristounet, NOEMIE MARCHAIT LE LONG DU SENTIER, TETE BASSE. Elle se rendait au village voisin en coupant à travers bois. Quand sa maman lui avait dit, « dépêche-toi Noémie d’aller faire quelques courses, les cousins arrivent à midi ; ils viennent de me téléphoner à l’instant » elle avait failli sauter de joie.
    Mais problème, il était déjà 11 heures et elle était encore en pyjama ! Sa maman avait rajouté, enfile vite ton imperméable par-dessus et court à la boulangerie sans perdre un instant ma chérie. Noémie, petite fille de 8 ans, bien obéissante, avait enfilé ses bottes en caoutchouc en se disant « JE M’ETAIS ACCOUTUMEE A CES MOMENTS IMPREVISIBLES mais cette fois-ci, ça bâtait tous les records ! » Et elle était partie dans cet accoutrement, en boudant et en espérant que son pyjama passe inaperçu sous son grand poncho.
    Quand elle arriva devant la boulangerie, bondée de clients, elle dû prendre patiemment la file d’attente qui s’étirait longuement sur le trottoir. Quand elle se retourna, elle vit deux ados qui l’observaient en riant sous leurs capuchons et en se poussant du coude. Ils la dévisageaient des pieds à la tête, s’esclaffaient, et soudain l’un des deux lui dit « tu es tombée du lit ou quoi ! »
    La honte. Des larmes plein les yeux Noémie s’enfuit et s’abrita sous un toit. Elle enleva son capuchon et ses jolies boucles blondes tombèrent en cascades sur ses épaules. Elle s’essuyait les yeux, quand soudain elle sentit une main se poser sur son épaule. « Noémie !» s’exclama le jeune garçon en la dévisageant. « Désolé, c’était pour rigoler » dit Jérémie en la serrant dans ses bras. « Ma cousine, comme tu as grandi, je ne t’avais pas reconnue devant la boulangerie. Ça fait si longtemps. Comme tu es jolie. »
    « Jolie ? Avec mon pyjama rose ? » s’énerva Noémie en donnant une violente boutade à son cousin. Jérémie perdit l’équilibre et tomba dans une flaque d’eau. Son frère Jules, arriva sur ces entrefaites en se bidonnant « pour une raclée, c’est une raclée ! » dit-il en l’aidant à se relever d’une main. C’est alors que le sachet de la boulangerie tomba des mains de Jules, dans la flaque d’eau.
    Tous trois ramassèrent en riant les petits fours dégoulinants qui s’en étaient échappés. « LE BOULANGER EN ETAIT SUR POURTANT, IL EN AVAIT COMPTES VINGT QUATRE » dit Jules désespéré de n’avoir récupéré qu’une dizaine de petits gâteaux.
  • bonjour,
    voici mon texte sur l'accroche de Bernard Dominique
    bonne lecture!

    Noémie marchait le long du sentier, tête basse. Depuis que je l’avais rabrouée, elle n’osait plus se plaindre. Pourtant, nos corps étaient épuisés par la longue marche dans la forêt de résineux. Il nous fallait avancer encore sans savoir où nous passerions la nuit. Je m’étais accoutumé à ces moments imprévisibles, parfois la chance nous souriait et nous trouvions sur notre chemin une bonne âme pour héberger les deux clandestins que nous étions. On s’étonnait souvent de notre jeunesse mais il n’y a d’âge pour fuir la misère. Depuis que nous avions franchi la frontière entre l’Italie et la France, ma sœur avait abandonné son prénom Francesca. Elle voulait que je l’appelle désormais Noémie, mais ses prénoms caméléons ne pouvaient effacer la couleur cuivrée de sa peau.
    Nous avions faim, une faim qui creusait nos visages et ralentissait nos pas. Aussi, en arrivant dans ce village où flottait une odeur de pain chaud, nous avions reniflé l’air comme des chiots excités jusqu’à trouver une table dressée avec de la nourriture. Des bénévoles distribuaient du pain avec du fromage sous cellophane et des pommes. Une file de réfugiés attendait patiemment leur tour. Lorsque ce fut à nous, une jeune femme rousse nous servit, Émue sans doute par la maigreur de ma sœur, elle rajouta du pain dans notre sac. « Pour plus tard » murmura-t-elle.
    Nous avions quitté la file après avoir remercié. La jeune femme rousse interpela un homme vêtu d’un tablier blanc. «Il faudrait ramener d’autres baguettes, il n'y en a pas assez ». Le boulanger en était sûr pourtant, il en avait compté vingt-quatre
  • Cymone a dit :
    MON TEXTE écrit sur l'ACCROCHE DE DOMINIQUE BERNARD:
    En cette fin de matinée pluvieuse, d’un mois de mai vraiment tristounet, NOEMIE MARCHAIT LE LONG DU SENTIER, TETE BASSE. Elle se rendait au village voisin en coupant à travers bois. Quand sa maman lui avait dit, « dépêche-toi Noémie d’aller faire quelques courses, les cousins arrivent à midi ; ils viennent de me téléphoner à l’instant » elle avait failli sauter de joie.
    Mais problème, il était déjà 11 heures et elle était encore en pyjama ! Sa maman avait rajouté, enfilevite ton imperméable par-dessus et court à la boulangerie sans perdre un instant ma chérie. Noémie, petite fille de 8 ans, bien obéissante, avait enfilé ses bottes en caoutchouc en se disant « JE

    M’ETAIS ACCOUTUMEE A CES MOMENTS
    IMPREVISIBLES mais cette fois-ci, ça bâtait tous les records ! » Et elle était partie dans cet accoutrement, en boudant et en espérant que son pyjama passe inaperçu sous son grand poncho.
    Quand elle arriva devant la boulangerie, bondée de clients, elle dû prendre patiemment la file d’attente qui s’étirait longuement sur le trottoir. Quand elle se retourna, elle vit deux ados qui l’observaient en riant sous leurs capuchons et en se poussant du coude. Ils la dévisageaient des pieds à la tête, s’esclaffaient, et soudain l’un des deux lui dit « tu es tombée du lit ou quoi ! »
    La honte. Des larmes plein les yeux Noémie s’enfuit et s’abrita sous un toit. Elle enleva son capuchon et ses jolies boucles blondes tombèrent en cascades sur ses épaules. Elle s’essuyait les yeux, quand soudain elle sentit une main se poser sur son épaule. « Noémie !» s’exclama le jeune garçon en la dévisageant. « Désolé, c’était pour rigoler » dit Jérémie en la serrant dans ses bras. « Ma cousine, comme tu as grandi, je ne t’avais pas reconnue devant la boulangerie. Ça fait si longtemps. Comme tu es jolie. »
    « Jolie ? Avec mon pyjama rose ? » s’énerva Noémie en donnant une violente boutade à son cousin. Jérémie perdit l’équilibre et tomba dans une flaque d’eau. Son frère Jules, arriva sur ces entrefaites en se bidonnant « pour une raclée, c’est une raclée ! » dit-il en l’aidant à se relever d’une main. C’est alors que le sachet de la boulangerie tomba des mains de Jules, dans la flaque d’eau.
    Tous trois ramassèrent en riant les petits fours dégoulinants qui s’en étaient échappés. « LE BOULANGER EN ETAIT SUR POURTANT, IL EN AVAIT COMPTES VINGT QUATRE » dit Jules désespéré de n’avoir récupéré qu’une dizaine de petits gâteaux.


    SUPER
  • «  le boulanger en était sûr pourtant , il en avait comptés vingt quatre »

    24 €. C'était sa seule vente de la journée. C'était vraiment une journée noire.

    «  Noémie marchait le long du sentier , tête basse »

    Elle allait rejoindre son ami le boulanger. Elle ne savait pas comment lui dire qu'elle était enceinte.

    «  je m’étais accoutumé(e) à ces moments imprévisibles »

    Se dit-elle. Ces moments qui devraient être heureux et qui finalement posent problème. Nous n'avons pas d'argent les affaires ne marchent pas. Et voilà qu'un bébé fait son apparition. Bon après tout l'amour aussi est imprévisible. Elle se rappelait lorsqu'elle avait rencontré son boulanger.
    Elle était tombée amoureuse d'abord de ses mains. Puis de ses yeux. Puis de son sourire. Allez zou la vie était belle l'enfant serait beau. Et l'amour serait toujours là !!!
  • Bonjour!
    Je suis nouveau sur ce site qui lutte contre la morosité de l'épidémie de la Covid-19.
    Je trouve le concept de cette discussion très amusant et je souhaite y participer.
    Ainsi je vous propose de relever le petit défi suivant:
    Dans une histoire quelconque (horreur, romantique, d'action, science-fiction,...) faites en sorte que ces 3 éléments y soient inclus: - lieu: l'espace
    -qui: 2 chat(te)s
    -quoi: survie
    Sur ce je vous souhaite bonne chance et l'imagination la plus débordante possible (vous en aurez besoin).

Ma réponse