Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous
gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la
communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !
Hello Kryan désolée d’avoir disparu du courrier depuis une bonne semaine je ne sais pourquoi si tu as une solution elle sera bienvenue Amitiés Claude
Franchement je n'en ai aucune idée, mais je suis contente de te retrouver ! Tu peux toujours envoyer un message à lecteurs, com je ne sais pas... Bizarre bizarre ...
Franchement je n'en ai aucune idée, mais je suis contente de te retrouver ! Tu peux toujours envoyer un message à lecteurs, com je ne sais pas... Bizarre bizarre ...
amitiés aussi
Je vais le faire sans grand espoir car j’ai dû tout réinitialiser sur mon compte mais ça n’a pas bougé
Je vais le faire sans grand espoir car j’ai dû tout réinitialiser sur mon compte mais ça n’a pas bougé
Oh ma pauvre mais c'est terrible ! Tu as dû tout réinitialiser sur ton compte et rien à marcher ! Là franchement je ne sais même pas quoi te dire parce que j'y connais rien....
ACCROCHE : Prenez un poème de votre choix ; citez-le, et transformez-le en conservant quelques mots de l’auteur. MON TEXTE écrit sur ce poème d’Alphonse de Lamartine , L’isolement : Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Ma transformation du poème :
Souvent sur mon téléviseur, je vois passer la haine
Au moment du coucher des images me reviennent
Je me promène au hasard de cauchemars monstrueux
Dont des scènes de guerre se déroulent sous mes yeux.
ACCROCHE : Prenez un poème de votre choix ; citez-le, et transformez-le en conservant quelques mots de l’auteur.
MON TEXTE écrit sur ce poème d’Alphonse de Lamartine , L’isolement :
Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Ma transformation du poème :
Souvent sur mon téléviseur, je vois passer la haine
Au moment du coucher des images me reviennent
Je me promène au hasard de cauchemars monstrueux
Dont des scènes de guerre se déroulent sous mes yeux.
Messages : 2082
Le 31/10/2023 à 09h39
Franchement je n'en ai aucune idée, mais je suis contente de te retrouver ! Tu peux toujours envoyer un message à lecteurs, com je ne sais pas... Bizarre bizarre ...
amitiés aussi
Messages : 124
Le 31/10/2023 à 09h49
amitiés aussi
Je vais le faire sans grand espoir car j’ai dû tout réinitialiser sur mon compte mais ça n’a pas bougé
Messages : 124
Le 31/10/2023 à 09h51
Cependant cela me fait plaisir de te retrouver également
Messages : 124
Le 31/10/2023 à 09h51
Cependant cela me fait plaisir de te retrouver également
Messages : 650
Le 31/10/2023 à 09h58
Heureuse de te retrouver moi aussi.
Messages : 2082
Le 31/10/2023 à 10h15
Oh ma pauvre mais c'est terrible ! Tu as dû tout réinitialiser sur ton compte et rien à marcher ! Là franchement je ne sais même pas quoi te dire parce que j'y connais rien....
Messages : 2082
Le 31/10/2023 à 10h16
Oui !!!!
Messages : 312
Le 31/10/2023 à 21h34
Messages : 650
Le 01/11/2023 à 07h04
ACCROCHE : Prenez un poème de votre choix ; citez-le, et transformez-le en conservant quelques mots de l’auteur.
MON TEXTE écrit sur ce poème d’Alphonse de Lamartine , L’isolement :
Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Ma transformation du poème :
Souvent sur mon téléviseur, je vois passer la haine
Au moment du coucher des images me reviennent
Je me promène au hasard de cauchemars monstrueux
Dont des scènes de guerre se déroulent sous mes yeux.
Messages : 2082
Le 01/11/2023 à 08h41
MON TEXTE écrit sur ce poème d’Alphonse de Lamartine , L’isolement :
Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Ma transformation du poème :
Souvent sur mon téléviseur, je vois passer la haine
Au moment du coucher des images me reviennent
Je me promène au hasard de cauchemars monstrueux
Dont des scènes de guerre se déroulent sous mes yeux.
Génial ! Quelle bonne idée !