Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous
gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la
communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !
Mon pseudonyme "Miracle littéraire" s'est inspiré du roman que je viens de découvrir et lire. Ce roman est un miracle littéraire, une vrai Découverte littéraire! C'est OE de Velina Zvancharova. L'originalité du style, cette écriture que je n'avais jamais rencontré auparavant, l'histoire géniale m'ont rendu fou amoureux! J'ai très envie d'échanger des critiques sur ce roman, j'attends avec impatience vos réponses.
Je viens de le commander et de le recevoir. J'étais moi-même intrigué mais curieux. En voici un résumé tiré des Presses du Midi qui ne me semble pas très éclairant mais très intriguant. Je vous en parlerai donc quand je l'aurai lu.
JM
"Les particules délicates persévéraient à éviter les faux pas. La suspension dans l’air était leur vie. Le toucher du moindre objet les transformait en poussière.
Près de la porte d’entrée, un aiguillon s’ingéniait à embrasser une framboise. Il habitait sur la même ronce qu’elle, mais n’arrivait pas à l’atteindre.
Alors, les yeux baissé et sur un ton d’infériorité pour éviter le moindre risque d’apparaître méchante ou insolente, la femme qui faisait briller le parquet dit à la femme sur laquelle brillaient des bijoux précieux : « Personne n’échappe au destin. »
Le jeu commençait. Ni l’un ni l’autre ne connaissaient la façon dont les Egyptiens avaient construit les pyramides. Mais tous les deux maîtrisaient l’architecture nécessaire pour bâtir un empire. Kopeleff sourit plus fort. Il savait comment devenir le seul empereur.
Les petits cristaux d’eau congelés avaient hâte de cacher ce corps transi et l’espoir pénible dans les yeux. Pour préserver la réputation de la neige. Et n’être que des flocons de neige féeriques dans un décor féerique, blanc et propre."
Messages : 3
Le 12/09/2014 à 09h01
Messages : 6
Le 06/10/2014 à 10h03
Messages : 2407
Le 07/10/2014 à 15h46
JM
"Les particules délicates persévéraient à éviter les faux pas. La suspension dans l’air était leur vie. Le toucher du moindre objet les transformait en poussière.
Près de la porte d’entrée, un aiguillon s’ingéniait à embrasser une framboise. Il habitait sur la même ronce qu’elle, mais n’arrivait pas à l’atteindre.
Alors, les yeux baissé et sur un ton d’infériorité pour éviter le moindre risque d’apparaître méchante ou insolente, la femme qui faisait briller le parquet dit à la femme sur laquelle brillaient des bijoux précieux : « Personne n’échappe au destin. »
Le jeu commençait. Ni l’un ni l’autre ne connaissaient la façon dont les Egyptiens avaient construit les pyramides. Mais tous les deux maîtrisaient l’architecture nécessaire pour bâtir un empire. Kopeleff sourit plus fort. Il savait comment devenir le seul empereur.
Les petits cristaux d’eau congelés avaient hâte de cacher ce corps transi et l’espoir pénible dans les yeux. Pour préserver la réputation de la neige. Et n’être que des flocons de neige féeriques dans un décor féerique, blanc et propre."
Messages : 6
Le 08/10/2014 à 11h19
Messages : 6
Le 08/10/2014 à 11h19