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Il va être question de physique dans cet ouvrage, alors commençons par celui de l’objet livre qui dénote des autres livres des Éditions aux Forges de Vulcain, couverture rigide toilée, coins arrondis, le format 15x20, pages très blanches et épaisses, un livre qui s’ouvre sans ce casser, illustrations couleur, police d’écriture confort… en résumé un livre agréable à lire quelque soit le moment !
Comme l’indique le sous-titre, il y a de nombreux dessins, certains humoristiques d’autres à « la manière de ». Des petites références amusantes quand on les repère. Parfois l’auteur nous renvoi aux illustrations pour que l’on comprenne… Un dessin vaut mieux qu’un long discours !
Ce que j’ai apprécié dans ce livre c’est la brièveté des textes, en peu de pages on a des infos, de l’histoire et divers renseignements, sans longueurs, on n’a pas le temps de s’ennuyer, on passe à la suite…
Je me suis reconnu dans « pourquoi on aime les JO » du coup j’ai enchaîné les chapitres. Je l’ai picoré dans les anecdotes, j’ai glané des infos par ci par là. On reprend la lecture là où on l’a laissé sans problème puisque les sujets changent d’un chapitre à l’autre. Je vais pouvoir placer « quel dommage que l’on ne voit pas de korfball ! » ou encore « j’aime bien l’ultimate »… Bon d’accord personne ne me prendra au sérieux mais au moins j’intriguerai certains…
Cet ouvrage parle des JO d’été comme ceux qui vont avoir lieu dans quelques jours. Mais aussi des Jeux d’Hiver et des Jeux paralympiques. Saviez-vous que les sourds ont leur propres JO qui ne se déroulent pas en même temps ? Vous l’aurez compris j’ai appris beaucoup de choses.
Certains noms sont mis à l’honneur et nous avons les faits les plus marquants de leur carrière.
Certains articles font référence à la littérature (ex. Lola Lafon) ou à la musique… Un peu de culture ne nuit pas ! On nous rappelle au passage que la Norvège est aussi le pays d’Edvard Munch, vous ne savez pas de qui il s’agit ? Je pousse un cri d’horreur !
L’auteure fait quelques digressions (ne boudons pas notre plaisir) pour replacer les Jeux Olympiques dans d’autres contextes comme par exemple les séries TV.
J’ai découvert les Jeux Mondiaux qui accueillent les sports qui ne sont pas ou plus acceptés aux JO. J’ai beaucoup aimé l’idée de défiler par sport et non pas par nation.
J’ai noté au passage que le tire à la corde à fait partie des JO de 1900 à 1920. J’y vois le reflet d’une époque et de ce que cela représentait… petite digression personnelle on peut toujours voir cette discipline pratiquée dans les Jeux Ecossais et les Jeux Basques.
Ce que je retiens de toutes ses anecdotes, où parfois l’humour subtil vient égayer les textes, c’est que les Jeux Olympiques font partie de notre histoire. Que les nations veuillent montrer leur suprématie et leur puissance financière, n’empêche pas que certaines images fortes laisseront l’empreinte de certains sportifs.
Cet ouvrage ne cache pas les tricheries, les entraînements extrêmes et autres malversations que les enjeux politiques et financiers entraînent dans leur sillage.
Des innovations techniques (vêtements et équipements.) ou physiques à l’ère de « l’homme augmenté » viendront faciliter la vie au quotidien de certaines personnes. J'aime l'idée d'évolution que certains actes engendrent.
La médiatisation des Jeux Paralympiques influence certaines nations (ex. Chine) et cela donne un espoir à certains exclus. J’ai été très touchée par tout ce qui a été dit sur ses Jeux là.
L’idée de deuxième chance et de réconciliation à travers le sport je trouve cela très positif… faisons du sport et pas la guerre…
Je m’arrête sur cette note positive.
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