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Voilà, il est parti, comme ça, sans crier gare ni laisser de signe avant-coureur. Et maintenant ? Que va-t-elle faire ? Comment se reconstruire ? Car, même si a une très bonne situation professionnelle et une excellente relation avec sa fille, cette rupture laisse une béance qui semble tellement immense qu'elle craint ne jamais s'en remettre.
Un seul choix s'offre à elle: vivre et le faire pleinement.
"ELLE VOULAIT JUSTE ÊTRE HEUREUSE " est donc le récit intense de la vie de cette quadragénaire qui court après son bonheur et enchaîne les déceptions amoureuses.
C'est un roman qui se lit d'une traite, les courts chapitres scandant cette vie moderne à cent à l'heure entre Paris, le Maroc et New York et qui offre une version désabusée de l'amour, ce graal tant espéré mais qui semble inaccessible dès le titre.
un peu déçue....
Elle est seule, une fois de plus. Il l’a quittée comme ils le font tous, la quitter sans raison, juste le désamour, ou le je ne t’aime plus, totalement incompréhensible.
Ils s’entendaient si bien, lui et elle, sa fille et son fils ; elle y croyait à ce futur à quatre et qui sait plus tard à deux, elle l’imaginait déjà. Mais elle se retrouve seule une fois de plus.
Elle rêve toujours d’un homme qui pourra l’accompagner, l’épauler, la comprendre. Mais c’est comme ça, c’est sa croix sans doute ces hommes qui passent et qu’elle ne retient pas, qui la quittent sans qu’elle sache comment les retenir.
Alors elle rêve d’ailleurs, même si elle a un métier qui lui plaît, une agence qui fonctionne bien.
Elle part à Marrakech se ressourcer, faire le point sur sa vie en miettes. Et se demande alors si elle ne devrait pas tout changer. Et si elle ouvrait une boutique de produits différents, du vrai beau travail traditionnel mais au style modernisé, venu du Maroc par exemple.
Et le lecteur la suit dans ses pérégrinations, ses amours déçues, sa recherche d’un nouveau métier, sa vie de femme et de mère.
suite de la chronique sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2022/11/27/elle-voulait-juste-etre-heureuse-geraldine-dalban-moreynas/
Le premier roman de l'auteure On ne meurt pas d'amour avait été un immense coup de coeur. Cet ouvrage avait d'ailleurs reçu le Prix du premier roman en 2019. C'est donc avec une grande impatience que je découvre son second livre.
Je retrouve avec exaltation l'écriture de Géraldine Dalban-Moreynas, sa manière si naturelle et si sincère de nous parler d'amour, de la passion amoureuse, du couple et des désillusions. Dès les premières pages, je sais que je vais aimer cette lecture.
Au fil des pages, je suis complètement embarquée dans l'histoire de cette femme qui ne souhaite qu'une chose : être heureuse en amour. Des rencontres amoureuses auront lieu, remplies de joie, de palpitations, de fougues, d'excitations, d'émotions fortes et de désenchantements.
Le récit d'une femme, d'une mère, d'une cheffe d'entreprise de nos jours, à la quête d'un amour vrai et constructif qui parfois peut-être est impitoyable… Un roman captivant et incisif qui m'a énormément plu.
J'ai passé un excellent moment de lecture et d'autant plus, que ce texte prenant et juste est parfaitement dans l'air du temps de notre société. Entre amour et désamour, espoir et brisement puis au bout du chemin, la reconstruction et la résilience. Une analyse de l'amour très réussie.
J'ai adoré et j'en redemande !
https://leslecturesdeclaudia.blogspot.com/2022/01/elle-voulait-juste-etre-heureuse.html
Elle a la quarantaine, une petite fille, et est chef d’entreprise. Elle enchaîne les histoires d’amour, et les coups de cœur qui lui arrachent ce cœur. Son cœur à elle, il est tout cassé. Mais elle tient bon. Elle cherche ce qui la rendra heureuse. Si ce n’est pas l’amour, ce sera son accomplissement professionnel et personnel. Avec courage, et intrépidité, elle se lance et suit son instinct.
A travers ce roman autobiographique, l’autrice se confie sur ses blessures amoureuses et le travail salvateur. J’avais beaucoup aimé son premier roman, que je trouvais fort. Si j’ai trouvé la première partie du roman un peu confuse, et un peu mièvre, j’ai retrouvé sa force à la fin.
Alors oui, elle n’a pas la plume de Leila Slimani ou Maria Pourchet, mais elle écrit vrai, avec ses tripes. On aime ou pas, elle ne laisse pas indifférent. En tout cas, j’ai dévoré ce roman en une soirée, et j’ai passé un bon moment de lecture.
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